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25 mai 2021 2 25 /05 /mai /2021 17:29

 

Wouah, l’Histoire est un formidable roman et ma foi, ces reines de cœur sont particulièrement attachantes.

 

Les deux roses d’Angleterre n’en font plus qu’une et c’est une belle histoire d’amour. Des trahisons, des machinations, des drames, le couple en rencontrera tout en dirigeant d’une main ferme et juste l’Angleterre, d’une main économe la cour et d’une main maternelle et aimante les enfants. Si Arthur est plutôt calme et timide, Margaret est coquette et bien consciente de sa petite personne à l’instar de son autre frère Henri, bon vivant, même bébé, et il reste alors la cadette, Mary plus posée que sa sœur mais d’un caractère bien trempé. Quatre enfants, quatre destins. Le premier ne survivra pas longtemps à son mariage non consommé avec Catherine d’Aragon, le deuxième sera à quatorze ans reine d’Écosse, le troisième prendra la place du premier et récupérera son épouse et le dernier sera à dix-neuf ans, reine de France pour quelque mois. Des désenchantements, des larmes, des grossesses à répétitions, des bébés qui ne survivront pas, des époux infidèles, des vies miséreuses pour ces reines qui rêvaient de gloire et d’amour, de joie et de bonheur. Ces reines qui rêvaient juste d’une vie de femme épanouie au côté d’un époux aimant comme suite logique d’une enfance heureuse aux côtés de parents attentionnés…

 

Un roman encore plus prenant que le premier même s’il n’est pas toujours facile de bien se situer entre l’Angleterre, l’Écosse et la France tant les événements se succèdent à un rythme trépidant. Un récit riche tant au niveau de la description des lieux et des coutumes que des caractères politiques, publiques et intimes des différents protagonistes.

 

Une auteure passionnée qui rend l’Histoire tellement intéressante qu’on a juste envie de continuer l’aventure :-)

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17 mai 2021 1 17 /05 /mai /2021 14:46

 

L’Histoire vaut bien un roman, ici le roman est juste l’Histoire et c’est waouh !

 

On est loin de la magnifique poésie du roman primé de l’auteure « Le grand vizir de la nuit » et pourtant on retrouve dans cet ouvrage toute sa richesse linguistique et son travail super bien documenté.

 

Deux roses, une blanche et une rouge, la famille des York et celle des Lancaster, deux branches issues d’un même ancêtre, pas si éloigné finalement, qui vont se battre à mort pendant trente ans pour le trône d’Angleterre. Les rois vont se succéder et les reines aussi, pas toutes bienveillantes. Dans le sang, la haine, la passion, le meurtre, la tendresse parfois et la trahison souvent, les événements qui ont fait l’Histoire, la vraie, nous sont ici relatés avec un chouia de romantisme qui floute un peu l’horreur de cette période tragique que l’on nomme la guerre des Deux Roses.

 

Une fin prévue et surtout connue, les deux roses n’en feront plus qu’une mais ça, c’est une autre histoire et je m’y plonge de suite :-)

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13 avril 2021 2 13 /04 /avril /2021 15:33

 

Un tout grand merci à Babelio et aux éditions Palémon pour ce roman à la couverture tellement attirante.

 

Je me suis plongée dans le récit avec beaucoup d’enthousiasme, j’aime l’histoire et l’époque Napoléonienne est passionnante. Et là, la magie n’a pas eu lieu… Les personnages aussi historiques soient-ils, manquent de vie, d’humour, de véracité ; le texte est clairement instructif et ennuyeux ; l’enquête manque de peps et n’est qu’un égrainage de cadavres plus ou moins froids...

 

J’aime l’authenticité mais utiliser ‘gonsse’ tous les deux mots et ‘foutre’ tous les trois ne m’aide clairement pas à me plonger dans une période historique. Pas que je n’aime pas l’argot ou le parler ancien, loin de là, c’est juste que cela ne suffit pas pour créer une ambiance et que la redondance ne rime à rien si ce n’est qu’à lasser la lectrice que je suis.

 

L’auteure est une fan des archives, ça se lit ! Plein de faits divers rapportés et bien documentés entrecoupent le récit, c’est intéressant, une ou deux fois sinon, ça plombe l’histoire et l’enquête n’est pas pleine de rebondissements mais d’encarts historiques qui n’y ont pas vraiment leur place.

 

Si le roman se lit bien malgré les répétitions, les digressions, les notes de bas-de-page qui n’en finissent pas, on est vraiment loin d’une Juliette Benzoni dont l’auteure se réfère et surtout d’un Jean-François Parot qui pour moi reste une référence du polar historique.

 

Pour conclure, un roman qui fait 300 pages de trop et les yeux verts du Capitaine Sabre ainsi que ses conquêtes dans le monde de la prostitution n’ont pas suffit à enclencher le film dans ma tête et c’est bien triste.

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22 février 2021 1 22 /02 /février /2021 17:56

 

Tout d’abord, un tout grand merci à Babelio et aux éditions « La Bouinotte » pour ce roman historique qui met en lumière une réalité souvent oblitérée des livres d’Histoire.

 

Nous voilà donc en Vendée, en 1793, le massacre peut commencer… Ce n’est pas alors l’armée révolutionnaire qui s’oppose à une armée vendéenne organisée mais bien une armée classique contre une population qui n’a pas demandé cette Liberté imposée, qui veut garder sa religion et ses prêtres et surtout qui refuse de donner ses fils bien utiles dans ses terres ingrates à une République qui combat ses ennemis aux confins du pays.

 

Un trait de plume qui ne manque pas d’intérêt mais qui souvent est plus que pompeux pour parler horreurs et débauches humaines, des personnages vrais qui sont présents pour le témoignage historique et des personnages de fiction qui manquent clairement de consistance, une mission qui sert de fil à l’histoire et qui n’est guère étoffée, un mystère qui n’en est pas vraiment un et pour finir deux histoires d’amour surfaites pour mettre un peu de rose sur le fond rouge et noir de l’ensemble du roman. Un ensemble qui parfois ne tient pas la route, comme cet avant-bras déchiqueté par un molosse au début du récit et qui manifestement n’a aucun impact sur la suite du parcours… Néanmoins, un récit qui interpelle sur ce crime monstrueux qu’a été la réaction républicaine à la révolte des Vendéens.

 

« Il se taisait, tétanisé par ce qu’il voyait, par cette révolution qui faute d’Être suprême n’avait engendré que des êtres infimes, que des gnomes déliquescents de bestialité et de déchéance. »

 

« L’hydre est increvable, et elle n’a pas cinq têtes, mais des milliers. Tous les jours des dizaines s’abattent, et des centaines repoussent pour être coupées le lendemain. »

 

« L’égalité se devant d’être partout, la tolérance n’était nulle part. »

 

A vouloir être au plus près de la réalité, l’auteur est sensiblement tombé dans la répétition de l’horreur et, du coup, ça rend le récit lourd et moins crédible et c’est triste car le sujet mérite clairement d’être développé.

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19 novembre 2020 4 19 /11 /novembre /2020 17:13

 

Génial !

 

Un roman qui se lit d'une traite ; un roman qui parle d'Histoire, d'amitié et d'amour ; un roman qui m'a touché tant le personnage principal est vivant, naïf, fort et attachant ; un roman qui fait sourire et pleurer aussi parfois (surtout à la fin faut dire) ; un roman, récit d'une aventure toute particulière à savoir l'aviation et ses aviatrices jeunes, intrépides et surtout, hors du temps.  C'est vrai que vivre dans les nuages est une expérience qui devait être magique surtout aux débuts quand tout était encore à faire.

 

On participe ici aux concours de voltige aérienne sur des terrains campagnards, on vit les tourments des aviateurs vétérans de la Grande Guerre qui ne savent que voler, on découvre les petits terrains qui servent d'escales aux courriers et aux voyageurs intrépides, on approche de tout près les techniques médiatiques des magnats de l'aviation pour faire vendre à n'importe quel prix leur production et là, c'est vraiment pas le top.  La guerre approche à grands pas, le marché promet d'être juteux et alors, tout est bon pour mettre en avant son industrie quitte à détruire une très jeune et jolie aviatrice de talent.

 

Ici encore l'auteure reste au plus près de la vie américaine et dans ce roman, son regard se porte surtout sur les petites villes où les filles se marient dès la fin des études secondaires et deviennent alors de parfaites femmes au foyer.  Et il y a parfois des exceptions et notre héroïne en est une qui deviendra un as de l'aviation et fera un tour du Pacifique juste avant l'attaque de Pearl Harbor et se retrouvera dans la même situation que celle d'Amelia Earhart…

 

« Étrange mélange de lâcheté et de témérité, commun à tous les pilotes.  Des héros dans les airs, des frileux à terre. »

 

« L'histoire d'amour la plus courte du monde.  Je t'aime.  Fin.  Je suppose que je n'aurais pas dû te le dire. »

 

Un roman émouvant à la gloire des héroïnes souvent oubliées que sont toutes les aviatrices qui ont participé à la deuxième guerre mondiale.

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19 novembre 2020 4 19 /11 /novembre /2020 17:10

 

Pas mal du tout, une fois de plus :-)

 

C'est vrai que l'auteure est prolixe et parfois, eh bien, un peu trop pour maintenir la qualité mais ce n'est pas le cas ici.

 

On voyage dans le monde déjà un peu partout secoué, on photographie les couleurs et les émotions, on écoute les rumeurs de la guerre et on les touche du doigts parfois, on ressent les malheurs du monde et on stresse pour les gens qu'on aime.  Quand l'amour nous tombe dessus sans qu'on ne s'y attende et que les responsabilités de la vie font qu'un fossé se creuse, il faut parfois une guerre pour tout arranger…

 

Une plume toujours aussi bien documentée sur le début de la seconde guerre mondiale ; la guerre entre la Chine et le Japon, la montée au pouvoir d'Hitler, les édits de Nuremberg, les avancées militaires en Autriche et en Pologne, l'horreur de Pearl-Harbor et finalement l'entrée en guerre de l'Amérique.  Un rythme qui bouscule au grès des voyages, des événements, des bombes qui tombent sur Londres.  Une femme particulièrement émouvante et attachante qui fait passer son amour pour les autres avant le sien qui pourtant a mis bien du temps à venir.  Et alors, jamais, malgré la pression des sentiments, elle ne lâchera ceux qui lui tiennent à cœur.

 

« Pour un homme comme lui, confronté quotidiennement à la mort, la naissance d'un enfant représentait un merveilleux espoir : cette vie nouvelle semblait soudain effacer tous les deuils. »

 

Une toute belle lecture qui montre aussi le côté obscur de la haute bourgeoisie américaine, son égoïsme, son racisme et sa superficialité.   C'est pour cela aussi que j'apprécie cette auteure, elle nous montre le beau mais aussi la laideur de son pays qui reste encore pour beaucoup un eldorado !

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19 novembre 2020 4 19 /11 /novembre /2020 17:05

 

Pas mal du tout !

 

Bon, je vais être honnête avec vous, il y a des longueurs et surtout des répétitions, c'est vrai.  Il y a surtout une documentation méticuleuse qui nous plonge dans un monde assez bien connu au travers de différents écrits et notamment ceux de Cicéron qui reste un personnage clé de cet opus.

 

Cicéron est au faîte du pouvoir et sa voix porte toujours bien, les factions sont toujours aussi secrètes et parfois versatiles, Jules César pointe son nez et tout semble bien en place pour la conspiration de Catilina, adversaire dépité et donc dangereux.  Un point d'Histoire bien connu qui sert de fond, très riche il faut le dire, à une enquête particulière qui touche directement Gordien qui risque bien d'y perdre la tête !

 

Une plume colorée qui nous mène une fois de plus au cœur des embrouilles politiques de Rome ainsi que des difficiles relations qu'il peut y avoir entre un père et un fils, encore bien jeune, devenu adulte aux yeux des romains.  Relations d'autan plus tendues que des liens profonds lient les deux protagonistes et que souvent les mots dépassent les pensées et conduisent à des situations inattendues, émouvantes et bien sûr, risquées.

 

« J'ai pensé, il y a longtemps, que je servais la vérité et, à travers la vérité, la justice, mais vérité et justice sont maintenant des mots dépourvus de signification à Rome ; on pourrait aussi bien les rayer de la langue latine. »

 

« La richesse rend nécessairement l'homme avare, le succès le rend vain et la parcelle la plus infime de pouvoir le rend méprisant envers les autres. »

 

Cette nouvelle immersion dans l'antiquité romaine est pour moi un plaisir que je vais clairement renouveler sous peu !

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19 novembre 2020 4 19 /11 /novembre /2020 16:53

 

Je ne sais pas si vous êtes comme moi… Un bon livre, un livre qu'on aime, qu'on lira jusqu'au bout sans sensation de longueur, sans l'impression de s'ennuyer tout en lisant, un livre bien écrit donc, on le sait de suite car les mots d'abord enchantent avant l'histoire. Et c'est le cas ici, j'adore :-)

Une plume directe pour le guerrier, une plume technique pour l'ingénieur, une plume artistique pour l'architecte et enfin, une plume poétique pour l'amoureux et tout cela réuni dans un même récit, ma foi, c'est assez réussi.  Petit bémol quand même, trop de répétitions et cela m'attriste car le texte est riche, bien documenté et tout simplement beau.

De Montmédy à Collioure, de Lille à Pignerol, de Saint-Malo à Maastricht, l'Homme de devoir n'a cessé de parcourir la France pour améliorer la défense de son pays en remaniant les citadelles existantes et en y créant d'autres d'une perspective toute neuve.  Ce n'est pas tout, durant ses voyages toujours renouvelés, sur ordre bien sûr, il n'a jamais cessé d'écrire : des mémoires sur la technique du siège d'une ville, des études sur les fortifications, des essais sur la vie réelle du peuple de France, une supplique pour inciter le Roi à revoir sa décision sur la suppression de l’Édit de Nantes et enfin, un traité sur la nécessité de revoir la politique fiscale du pays.  Un homme extraordinaire qui a passé sa vie à servir son pays et son Roi.

Un ingénieur que j'admire pour les places-fortes que j'ai déjà visitées et qui dans ce roman est sublimé par une histoire d'amour assez émouvante.  L'auteur ici a bien joué en menant de front l'Histoire et la technique et en pimentant le récit d'un coup de cœur improbable ou pas…

« J'allais donc épouser le métier des armes. Le plus court chemin pour gagner un nom, pour la découverte et le voyage, pour la fortune et la gloire. La mort peut-être... »

« La perfection d'une ville tenait aussi de sa cathédrale. Je compris très vite, humble et malheureux, que je ne pourrais jamais égaler l'essence divine d'une écriture de pierre. Ici, l'architecture rejoignait les plus belles pages des lettres et de la peinture. A la pierre, elle mêlait la sensibilité de la lumière et du son même. »

« Ma peau… Ma pauvre peau ! Si j'étais veau, elle ne servirait pas même à faire une chaussure. Et les meilleurs des naturalistes trouveraient problème à m'empailler. »

« Que l'on joue ne serait-ce qu'avec la qualité des matériaux, le temps ou le terrain, et les années se chargeront d'y apporter un blâme et une sanction. Sanction brutale posée par la nature et dans le constat par les hommes. »

« La guerre n'est pas spectacle d'amour.  Elle punit la curiosité en réclamant son dû. »

Un tout grand merci à Babelio et aux éditions « Vents d'Histoire » pour cette belle découverte.

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6 octobre 2020 2 06 /10 /octobre /2020 17:27

 

Long, lourd, j'avais envie de mieux connaître cet auteur et je m'en mords les doigts.

 

C'est mignon, poétique, comme un conte trop long qui ne sait pas vraiment où il va et du coup, c'est un peu ennuyant. Les personnages restent toujours en retrait, pas moyen d'accrocher, de les trouver attachants, sympathiques et c'est triste car je sens qu'il ne manque qu'un petit chouia pour rendre le récit palpitant.

 

Et puis voilà, attendre la page 196 pour que l'histoire de Sarah et Abraham commence vraiment alors que le bouquin n'en fait que 345, c'est un peu broder sur une genèse qui n'existe pas. Je m'explique, dans la Bible, Sarah est la demi-sœur d'Abraham, ici, elle est une princesse mésopotamienne un peu trop gâtée il faut le dire et qui du coup n'en fait qu'à sa tête. Même si cela est assez intéressant et permet de découvrir les us et coutumes et surtout la religion du peuple mésopotamien à l'époque d'Abraham, ça ne sert qu'à faire des pages avant de commencer l'histoire…

 

« Viens dormir près de moi. Cette nuit et toutes les nuits, jusqu'à ce que le Dieu unique nous désigne le pays où nous nous établirons. »

 

Et l'Histoire, et bien, c'est celle reprise dans les sources religieuses principales avec quelques ajouts du cru de l'auteur. Pour faire court, Abraham et Sarah sont des personnages bibliques ; ce roman est plus un conte qui permet de se replonger dans les origines des différentes religions sans trop se casser la tête car rien ne vient vraiment expliquer les différents tableaux représentés dans le récit.

 

Il m'en reste deux à lire sur le thème de la Bible au féminin mais avant de m'y plonger, je vais faire une petite pause dans mes études théologiques et pourquoi pas ouvrir un petit livre rouge :-p

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30 septembre 2020 3 30 /09 /septembre /2020 17:52


Pas mal du tout !

Me revoilà à Akhétaton en présence de Néfertiti et de son époux Akhénaton, si adulé un temps, si conspué après au point d'être peut-être assassiné pour rendre à Amon sa place au cœur de l'Egypte et sa richesse au clergé égyptien.  

Un roman écrit comme une enquête, Akhénaton est mort, Néfertiti est toujours prisonnière en son palais ; le roi renégat est mort, vive Toutankhamon qui a remis l'église au milieu du village à savoir Thèbes où le clergé se frotte les mains après des années de vaches maigres.  Un roman écrit comme une succession de réalités, différentes en fonction des personnalités, vengeresses, attendrissantes, hargneuses, raisonnables et finalement, l'unique, toujours amoureuse.  Un roman particulier car écrit par un égyptien qui veut toucher au plus près les réalités de ce temps toujours un peu obscur car lointain et beaucoup décrié.  Un roman tout en poésie où les chants de pharaon à l'Unique illuminent les récits successifs et montrent de ce fait la profondeur de la foi de cet homme si particulier et si attachant.

Un physique androgyne, un précurseur du monothéisme,  un esprit en avance sur son temps, un être qui croit en l'amour des Hommes et des peuples, un personnage éblouissant qui n'avait aucune chance même en étant  pharaon.

« Sois comme l'Histoire qui prête l'oreille à tous les conteurs, qui ne prend parti pour personne, et qui gratifie d'une vérité limpide celui qui la lui réclame. »

« Le bien n'échoue jamais, le mal ne vainc jamais.  Mais nous ne voyons du temps qu'une infime portion.  La faiblesse et la mort font écran entre nous et la vérité... »

Un auteur que je découvre et qui nous présente une histoire connue d'une manière beaucoup plus élaborée que par le biais d'un roman historique classique.  Un auteur que je vais garder en mémoire du coup :-)

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